La plage d'Ataya et Makoto

Ataya était sur la plage depuis quelque semaines, Makoto était parti depuis la veille. Il lui avait dit qu'il avait des obligations envers la reine ce qu'elle comprenait malgré l'opposition qui les séparait.
Elle poussa la porte de leur cabane et sortit sur la plage.
Elle s'approcha du feu et y ajouta quelques branches, le feu crépitait. La jeune elfe s'assied et regardait le feu. Elle tendit ses mains vers les flammes. Sa peau se réchauffait. Depuis peu elle avait des frissons qui la parcourait.

Un portail s'ouvrit sur la plage et Makoto apparut et il marchait mais il sembler différent, une sorte d'aura noir le recouvrer, son bras gauche était en sang, mais c'été son visage le plus changé, il avait un oeil tout blanc et une larme de sang qui partais de son oeil et qui aller jusqu'a sa lèvre, il marcha jusqu'ataya, il se mit devant elle, il revenait du rituel avec la reine, il baissa la tête, il avait failli perdre ce qu'elle lui avait donné, il ne la regarda même pas, il avait honte dans un sens d'avoir perdu le control de sois, il passa a coté d'elle et alla s'allongé sur le sable, il ne savais pas quoi lui dire, il ne savait pas ce qu'elle aller dire, et il ne savais vraiment pas quoi faire pour avoir le droit de la regarder a nouveau

La jeune elfe entendit une porte maléfique s'ouvrir et vit Makoto en sortir. Il semblait perdu, changé; Il alla directement s'assoir sans dire un mot a Ataya qui s'en étonna.
*Il doit vraiment pas aller bien pour ne pas me dire bonjour.*
Elle s'inquiéta.
"Ca ne va pa ?? Ca s'est mal passé ??"
Il tourna son visage vers et elle fut stupéfaite de voir qu'il avait tant changé. Il lui manquait un oeil.

Ataya lui demanda comment sa s'été passer, il ne savait que répondre, le rituel c'été bien passer c'est le cas de le dire, mais il se rendais compte qu'il été en train de devenir un être bénéfique, lui qui continuer ses expérience horrible sur la fournaise, ou plutôt qui avait délégué des créature pour le faire a sa place, lui qui avait raser une forêt pour le plaisir, qui avait il y a longtemps massacrer son régiment, se trouver incapable de tuer quelque pauvre créature sans défense, il savait ce qui l'avait changer et se disait qu'il n'y avait que 2 solution, soit tuer cette femme qui l'avait changer, mais sa il s'en sentait incapable, alors il devait recommencer a faire le mal, pour que son âme qui lui été revenu, devienne aussi noir qu'il l'était lui même avant, après les quelques instant qu'il passa a réfléchir il fixa sa main gauche, on lui avait conférer un tel pouvoir, il ne prouver pas laisser passer sa, ses yeux s'embrasèrent d'une énergie nouvelle, il se leva et regarda ataya, d'un oeil complètement noir de haine et d'envi meurtrière, et l'autre complètement blanc car ne lui appartenant pas

-Je suis désolé, mais je ne peux rester a tes coté, nous ne somme pas fais pour vivre ensemble, je t'aime toujours crois moi, mais je suis en ce monde pour répandre la mort et la souffrance, et toi tu devrai tout faire pour m'en empêcher, le peu de temps que j'ai passer avec toi fut merveilleux, mais je ne suis pas fait pour

Il sauta au dessus d'ataya, et courut vers la plage, un portail s'ouvrit, il le franchit et le portail se referma derrière lui

Ataya vit qu'il réflechissait. Soudain, il se retourna vers elle, ses yeux étaient noirs de rage. Il lui faisait peur. Elle se leva a ses paroles.
"Pourquoi ? Pourquoi tu veux t'en aller ? On était bien tous les deux. Non ? S'il te plait ne part pas. Jamais ca n'a été comme ca avec un homme. Ne part pas. Ne me laisse pas seule."
Certaine personne en voyant la scène aurait put penser que l'on était dans un film mais pas du tout, c'était la réalité. La jeune elfe se pinça pour s'en rassurer. Oui elle sentait la picure. Oui s'était la vérité, c'était réelle, ce n'était pas une chimère. Il voulait réellement partir.
A ce moment la il ouvrit une porte et partit. La jeune elfe éffondrée s'assied sur le sable, et pleura toute les larmes qu'elle pouvait contenir.
"Pourquoi moi ?? Moi qui avait trouvée quelqu'un de bien."
hurla-t-elle dans le silence de la nuit.

» Makoto Mitsuhara